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Seth Peterson [En cours]

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Seth Peterson
Parchemins : 3
Age : 29
Seth Peterson
MessageSujet: Seth Peterson [En cours] Seth Peterson [En cours] Icon_minitimeMer 21 Déc - 23:05
© Arrogant Mischief sur Never Utopia
Seth Peterson

« Il est des épreuves que l’on ne surmonte jamais vraiment, mais auxquelles on survit, malgré tout. »


۞ PRÉNOM(S) : Seth Andrew Aton
۞ NOM : Peterson
۞ AGE : Né le 14 Juillet 1973, il a aujourd'hui 22 ans. 
۞ NATIONALITÉ : Anglais et Egyptien. Sa mère Dédetès Peterson (née Em-Heb), est égyptienne, et son père Damian A.Peterson, est britannique.
۞ SANG : (Sang-Pur, Sang-Mêlé, Né-Moldu) Sang-mêlé, d'une mère sorcière et d'un père moldu.
۞ MÉTIER : Oubliator
۞ ANIMAL : Un Bouledogue anglais, qu'il a nommé Ach, en référence au Dieu du désert de Libye, proche du Dieu Seth. Il l'a acheté sur le chemin de Traverse à la fin de ses études à Poudlard. Déjà âgé de 10 ans au moment de son adoption, il mène maintenant une belle vie aux côtés du sorcier, en ronflant le plus souvent sur le canapé de son salon.
۞ BAGUETTE : La baguette faîte d'un bois de Peuplier, presque blanc, est longue de 31,3 centimètres, correspond au fort caractère de Seth. Composé d'un Crin de licorne, elle s'accorde au bois, qui lui offre une fidélité exemplaire, et une puissance toujours égale. D'une bonne souplesse, elle fait en sorte d'être difficilement cassable, et ce, malgré les nombreuses chutes qu'elle a subies, témoignant tant de la maladresse du sorcier, que de sa souplesse d'esprit. Sur le pommeau, sur les deux faces opposées, se trouvent deux runes. La "Mémoire", et "L'oubli".

۞ PATRONUS : Pygargue à tête blanche. Trop souvent confondu avec l'aigle royal, il s'agit d'un animal extrêmement fier, offrant tant de férocité, si l'on s'en prend aux siens, et son territoire, qu'une adaptabilité incroyable pour un rapace de cette envergure. 
۞ VOTRE PERSONNAGE POSSÈDE-T-IL UN DON ? (Voir la listeIci) Légilimens.
۞ AVATAR : Rami Malek

PHYSIQUE

Dring. Dring. Dring.

Le bruit d'une sonnette. Entêtante. Énervante. Un grognement mécontent s'échappa des draps, tandis qu'une forme se mouvait avec une lenteur calculée. Presque langoureuse, faisant penser à un reptile. Un serpent face à un joueur de flûte, dans l'impossibilité de s'enfuir loin de l'emprise teigneuse de la mélodie, pourtant si envoûtante. Un bras bronzé, recueillit la fraîcheur d'une chambre mal éclairée, aux volets, fait de planches en bois, mités et sentant l'humidité. Les rideaux grisâtres, pendaient contre le carreau, tâché de gouttes de pluie, qui capturaient les rayons du jour qui venait de se lever. La main remonta, les doigts fins, aux ongles rongés, cessant enfin leur pianotement sur le parquet délavé. Les phalanges saillantes retracèrent les dessins complexes de la couverture, pour finalement s'y abattre avec violence, au son d'une nouvelle sonnerie. Les muscles de l'avant-bras visible se contractèrent, faisant ressortir un tatouage représentant un oiseau, un rapace, agitant les ailes, prêt à s'envoler, ses serres raclant le vide, alors qu'un cri silencieux sortait de son bec crochu, le poitrail gonflé de fierté. 

« J'arrive. », sortit une voix grave, à l'accent étranger subtil, étouffée par un oreiller blanc. Avec un soupir, qui lui envoya un courant d'air chaud au visage, le jeune homme se leva, ses mains enfoncées dans le matelas. Le tissu glissa le long de son dos, laissant découvrir une peau hâlée, qui ne laissait aucun doute sur les origines égyptiennes du sorcier. Une tignasse courte, sur les côtés, se fit deviner, quand un rayon lumineux pénétra dans la petite pièce, nous informant plus sur les lieux, et son propriétaire. Une chambre ne contenant qu'un simple lit double, une armoire foncée, ainsi qu'une table de nuit, sur laquelle était posée une lampe en métal, un cendrier en verre, d'une couleur douteuse par la cendre collée sur les rebords. Nouvel appel venant de la porte d'entrée, qui résonna aux oreilles de l’Égyptien, comme une source d'énervement supplémentaire. Un orage, au beau milieu d'un jour déjà pluvieux. « J'arrive عاهرة (*Par la barbe de Merlin  en arabe) », cria-t-il, en jurant dans sa langue maternelle, ses poings se serrant un peu plus, jusqu'à blanchir. Prenant une longue et lente inspiration, il s'assit, libérant enfin ses genoux de son propre poids. Se laissant tomber sur le dos, avec la délicatesse d'un morse, faisant grincer les lattes de son lit. À l'aveuglette, ses doigts trouvèrent l'interrupteur de la lampe, qui avait été devinée un peu plus tôt. Aussitôt, un éclat vif, força l'homme à clore ses paupières, pour préserver ses iris bleu nuit, changeant au grès de ses humeurs. Heureux, ils semblaient avoir revêtu la couleur de l'océan, ou dans ses colères, une ombre s'installait dans ses prunelles, les assombrissant. La nuit reprenait ses droits. Sa mère, avait pour habitude de lui dire, qu'il avait les yeux changeants, et que c'était une bonne chose. Les yeux sont les fenêtres de l'âme. Un adage, particulièrement vrai concernant Seth. Un prénom qu'il porte avec une fierté non dissimulée, allant jusqu'à le graver sur sa peau. Sur son bras gauche, sur l'intérieur, se trouvait un hiéroglyphe, qu'il caressait maintenant du bout des doigts, traçant avec justesse le chien noir, aux oreilles pointues, formant le deuxième symbole. 

Un nouveau grognement secoua les cordes vocales du sorcier, qui serra les dents, faisant ressortir l’ossature saillante de sa mâchoire carrée. Ses lèvres rendues pâles par une nuit agitée, se pincèrent, se collant à des dents d'une blancheur impeccable. Son nez droit, se fronça sous l'odeur d'humidité qui s'y engouffra, gonflant ses narines.
 « Mais y a un rat crevé ou quoi dans le coin ? », murmura-t-il, en passant une main sur son visage, ébouriffant ses sourcils noirs et fournis, avant de remonter sur un front habituellement dégagé, où se laissait déjà deviner une ligne. Une ride qu'il tentait de retirer par la pression de ses doigts chaque matins, sans réels succès jusqu'à maintenant. Il retira l'une de ses mèches bouclées, d'une belle couleur chocolat, sous la lumière jaune, la laissant retomber vers l'arrière, en compagnie de ses semblables, qui formaient une masse sans réelle forme, des cheveux caressant le bout de ses oreilles pointues, qui lui avaient longtemps valu les moqueries de ses camarades, avant qu'il ne mette le nez dans une trilogie moldue, qui l'avait happée, il y a quelques années de cela. Depuis, ressembler à un elfe, ne lui posait plus aucun problème, si bien, qu'il affichait cette différence, avec un sourire perpétuel. Ses cils d'une belle longueur, se relevèrent, passant avec volupté sur les cernes violacés de Seth, qui avaient formé des poches avec le temps.


« Fait chier. », jura-t-il de nouveau, quand la sonnerie muta en tambourinement sonore. Des aboiements les accompagnèrent, faisant grimacer l'Oubliator, qui écrasa l'oreiller se trouvant sous la paume de sa main, sur son visage basané. Étouffant par la même occasion le cri qu'il retenait depuis son réveil. Essoufflé, il se hissa sur ses pieds avec empressement, attrapant le t-shirt à manches courtes sombres, traînant contre le pied de son lit, cachant les cicatrices blanches, parsemant son corps sculpté. Son jean dans la main gauche, et la tête basse, il poussa la porte de sa chambre, récoltant les rayons vifs de la matinée, frappants contre la baie vitrée de son salon, où s'agitait Ach, son Bouledogue. « Tu vas la fermer maintenant ? Je suis là, espèce de gros tas. », se faisant, il se baissa, courbant l'échine, pour passer sa main sur les poils courts, et bicolores de l'animal, qui grogna sous l'attention, se retournant pour frotter sa truffe humide contre les doigts de son propriétaire. D'un coup de talon, il poussa la gamelle vide du canidé, pour l'attirer un peu plus loin, dans le but de passer son bas. Un simple jean clair, troué au niveau de ses genoux, bien trop grand pour sa taille fine, qui faisait la plupart du temps rêver la gente féminine, autant qu'elles le jalousaient. Avec une démarche nonchalante, les pieds traînants, et la main tentant de redonner une forme descente à ses cheveux. Nouvelle sonnerie, qui vrilla ses tympans, le faisant de nouveau grogner, récoltant de plus bel, les appels du chien. Fermant brièvement les yeux, dans le but de calmer la migraine qui commençait à remonter le long de sa nuque, il enleva le verrou, près à incendier celui, ou celle, qui venait d'écourter son sommeil, qui l'avait fuit une partie de la nuit. 

Il n'eut le temps que de distinguer une longue chevelure brune, qu'une paire de bras enserra son cou, le faisant basculer en arrière, si bien qu'il dût se rattraper à l'encadrement de sa porte d'entrée.
 

Hesat, commença-t-il, en passant un bras autour de la taille de sa sœur cadette. Son unique sœur. Il n'eut pas le temps de continuer, qu'un baiser claqua sur sa joue mal rasée.
Bon anniversaire Seth !, lui répondit-elle immédiatement, en passant une main sur la nuque de son aîné, un sourire joyeux flottant sur ses lèvres vermeilles. Le 14 Juillet. Il l'avait oublié.
- Tu fais chier, finit-il par murmurer, après quelques minutes de silence, les paupières closes, un sourire relevant enfin ses lèvres.


I will not Bow ♪

Londres, 23 Juillet 1994,

« Où j'ai mis mes clefs encore ? », grommela Seth, en fouillant pour la dixième fois dans ses nombreuses poches, passant rapidement dans celles de son jean noir, serré au niveau des chevilles, où ses doigts ne touchèrent qu'un ticket de métro datant de plusieurs mois, déchiré par les lavages répétés, et les oublis bien trop fréquent, mais aussi quelques pièces de monnaies, mornilles, et livres confondus. Il lui était arrivé, à maintes reprises, et encore récemment de confondre les deux. Allant s'acheter un café, dans une boutique à quelques rues de son appartement, c'est avec la nonchalance qui lui est connue, qu'il avait tendu la somme demandée à la serveuse, une blonde, si sa mémoire était bonne. Qu'elle n'avait pas été sa surprise d'entendre le fracas assourdissant d'un plateau heurtant le sol carrelé de la brasserie, avant qu'elle ne lui jette les morceaux de bronzes au visage, et de lui hurler d'une voix aiguë, à faire souffrir une mandragore tout juste rempotée. Manquant de caches-oreilles, il avait dû se résoudre à se boucher les oreilles, en regardant les objets du délit. Une grimace avait alors déformé ses lèvres, tandis qu'il se rendait compte de sa maladresse. Mais, elle a été complètement timbrée de me les envoyer en pleine tronche aussi celle-là ! On ne lui a jamais appris que le client est roi ? Un soupir d'agacement s'échappa des lèvres du sorcier, tandis qu'il tapait ses poches arrière, dans l'espoir de trouver ce qu'il cherchait. Ses paumes ne rencontrèrent que la surface dure d'un porte-clef, une croix de vie, ramenée de son pays d'origine, lors de son dernier voyage, organisé par sa sœur, dans le cadre du rétablissement de leur mère. Ses gestes qui s'étaient accélérés, ralentirent imperceptiblement, avant de se stopper complètement, ses mains enfoncées profondément dans les poches de sa veste en cuir. Les doigts bougeant calmement, il releva son nez droit en direction du ciel, admirant les nuages cotonneux. 

« Va falloir que je pense à retourner la voir. », dit-il pour lui-même, au moment où sa voisine se postait à ses côtés, son trousseau de clés dans la main droite. « Ben alors jeune homme, on parle déjà tout seul ? », l’apostropha-t-elle, de sa voix chaleureuse, en posant sa main ridée sur la la peinture écaillée pourpre de la porte de l'immeuble. Miss Hurton, veuve depuis une bonne dizaine d'années, elle avait élu domicile dans l'appartement face au siens, il y a de cela deux ans, à la suite du divorce de son fils aîné. Celui-ci, avait durant de longues années, été comptable dans une célèbre entreprise de bricolage, mais, à la suite de la découverte de la liaison de sa femme, avec leur jardinier, il avait décidé de plier bagage, et de partir en Asie, dans le but de devenir vendeur de Sushis, laissant derrière lui, son épouse, dont il était dorénavant officiellement séparé, mais aussi ses quatre enfants, dont le plus jeune venait de faire son entrée au collège. Elle avait également une fille, dont elle était particulièrement fière, si bien, que lors de leurs rencontres, au cours d'une descente de poubelle, ou de départ au travail, tandis qu'elle sortait pour promener Nounours, son caniche âgé de douze ans maintenant. Galya, de son prénom, venait d'obtenir son diplôme de médecin, au bout de plusieurs années de travail acharné, jonglant entre l’hôpital, dans le but de rester au chevet de son père, atteint d'un cancer en phase terminal, second mari de notre charmante voisine, toujours souriante, qu'il vente, pleuve ou neige. J'ai toujours pensé, qu'elle empoisonnait ses maris, dans le but de récolter leur fortune. Mais vu l'immeuble pourrit dans lequel on vit, ma théorie tombe à l'eau. Seth tourna son regard bleuté dans sa direction, s'attardant sur son visage marqué par les âges, ses yeux ambrés, en amandes, aux pattes doigts apparentes, signe d'un bonheur, qui transpirait par tous les ports de sa peau, qu'elle entretenait à l'aide de nombreuses crèmes de beauté bon marché, accompagnée d'un parfum entêtant, qui ne manquait par de le faire éternuer lors de leurs brèves entrevues. 

« Bien le bonsoir, Miss Hurt- », il n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'il fut secoué d'un violent éternuement, qu'il camoufla tant bien que mal, en engouffrant son nez dans son coude, la tête tournée à l'opposé de son interlocutrice. Un rire joyeux accueillit son interruption, alors qu'elle posait une main amicale sur l'avant-bras du sorcier, qui s'excusa rapidement, non sans chercher un mouchoir dans ses poches, qu'il n'avait de cesse de remuer de fond en comble, comme le ferait un archéologue durant ses fouilles. Merde, je l'ai mis où encore ? Je perds tout, c'est horrible« Vous devriez plus vous couvrir jeune homme, sinon, vous allez réellement tomber malade. », le réprimanda-t-elle gentiment, en lui tendant un mouchoir en papier, qu'elle venait d’extirper de son sac à main vert pomme. « Merci. », murmura-t-il, en se mouchant plus ou moins discrètement, les joues rouges de honte. Sa mère serait outrée, de le voir aussi maladroit, et ne manquerait certainement pas de lui rappeler les bonnes manières qu'elle lui avait inculquées dès son plus jeune âge, dans les faubourgs du Caire. « Votre père se porte mieux ? », une question qui le prit au dépourvu, si bien, que ses épaules se tendirent, jusqu'à former une ligne parfaitement droite, le visage de l’égyptien, passant de la surprise la plus totale, à quelque chose de plus sombre, de froid, et menaçant. Ses lèvres se serrèrent, alors que l'image d'un homme de cinquante ans passés, paraissant le double, relié à des fils, le visage d'une pâleur maladive, s'imposait à son esprit, le faisant vaciller légèrement. Assez, pour qu'une brèche apparaisse. « Pauvres enfants. Le SIDA, fait encore des victimes. », entendit-il distinctement dans sa tête, comme si la femme à sa droite, venait de s'adresser à lui, comme elle avait l'habitude de le faire. Ses poings se serrèrent, comme mu de leur propre volonté, ses ongles s'enfonçant durement dans ses paumes rendues calleuses par l'usage de sa baguette. Celle-ci d'ailleurs, envoya de délicieuses vibrations contre le torse du jeune homme, se répercutant dans sa cage thoracique. « Quel désastre pour cette famille, que la maladie les ait frappée. », ajouta-t-elle, en fixant Seth, d'un air attristé, ses lèvres maquillées de rouge, formant une ligne horizontale, que ses dents blanches, appartenant à un appareil dentaire, malmenées de gêne. Taisez-vous عاهرة (*Par la barbe de Merlin  en arabe.) « D'après ce que l'on aurait entendu dans l'immeuble, leur mère serait en maison de repos. La dépression, un fléau. Il paraît aussi que.. »les paroles se mélangèrent, jusqu'à former un tourbillon, qui emporta avec lui, celles du jeune homme, qui bascula en avant, sa paume claquant durement contre la lourde porte.

« Fermez-la ! », sa voix grave, cogna comme un écho dans la rue, valsant contre les murs épais des immeubles alentours. Un hoquet suivit son ordre, suivit d'un sanglot, qui s'étrangla dans la gorge de la vieille femme. Le silence. C'est ce qui le frappa en premier lieu, au bout de quelques secondes, alors que le vide si salvateur et essentiel, se faisait dans sa boîte crânienne, son esprit triant les informations, colmatant une fissure qui s'était laissé entrapercevoir. Seth cligna des yeux une vingtaine de fois, déglutissant bruyamment, avant de se tourner vers sa pauvre voisine, qui ne cessait de le regarder, soudainement apeurée. « Je... », sa voix dérailla, laissant deviner le trouble qui l'animait. Qu'est-ce que j'ai encore foutu ? Elle n'a rien... « Fais. », termina-t-il à voix haute, en passant une main peu assurée dans sa chevelure brune. « Je suis simplement épuisé, le travail... », il fit un geste vague de la main, avant de la reposer le sommet de son crâne. « Mon patron m'a encore harcelé au boulot, pour que je lui rende un dossier, que je n'avais pas. », il haussa les épaules, penaud. « Je suis vraiment désolé Miss Hurton. », finit-il, en laissant son bras tomber, sa main tapant contre la poche de son pantalon, heurtant le trousseau qu'il avait tant cherché durant vingt minutes, sans succès. Sans attendre de réponses de la part de l'intéresser, il passa son badge sur l'aimant, avant de se réfugier dans le hall sombre de l'immeuble, en brique rouge. Sans prendre quelques secondes supplémentaires pour vérifier sa boîte aux lettres, il fila au premier étage, montant les marches, faîtes d'un carrelage en mosaïques oscillant entre le beige et le blanc. Une fois devant la porte d'un rouge écaillé, à la poignée à la dorure passé, il lâcha un soupir, ses doigts se posant sur le verrou, qu'il retira avec empressement.

« On est quand même ... », il passa le palier, la tête basse, un sourire en coin. « Mieux ... », il se détourna de son salon, dans le but de refermer derrière lui. « Chez soit... », il fit face à la pièce, qui s'avérait être dévastée, ce qui le coupa dans son élan, son pied chaussé de ses Rangers butant contre un cadre photo, dont le verre se brisa sous l'impact. Clignement d'yeux surprit. Un silence envahit le vaste espace, tandis qu'il passait en revue les dégâts causés, s'arrêtant soudainement sur le canapé, et ses coussins déchirés, laissant apparaître la mousse blanche les remplissant. Sur l'un d'eux, trônait fièrement, la truffe humide, et la bave dégoulinant des babines, le Bouledogue Anglais du sorcier. « Ach ... », commença l'égyptien, son regard devenu noir, fixer sur son compagnon, qui aboya, reconnaissant l'appellation.

« J'ai passé une sale journée au boulot ... », il fit un pas, finissant d'éclater le cadre sous son talon, en ne prêtant pas la moindre attention, à la photographie qui y était abritée. « Je me suis dit que j'allais pouvoir me reposer en rentrant… », il enjamba d'un mouvement souple le paquet de croquettes renversé sur le plancher en chêne, habituellement parfaitement lustré. « Mais non ! Je retrouve l'appartement sans dessus dessous ! Mais bordel Ach ! C'est la troisième fois cette semaine ! », après une longue inspiration, dans le but de calmer sa voix, qui commençait à gagner en volume sonore, il lâcha un soupir, qui sonna comme un appel à l'aide. Calme-toi Seth. Tu n'es pas aussi impulsif d'habitude. Penses à ce que maman disait toujours. Seth ferma les yeux, les sourcils froncés de concentration. Il le vit. Le visage doux de la femme qui l'avait mis au monde, et qui les avait aimé, lui et Heset, sa petite sœur, comme s'ils étaient les plus beaux joyaux que l'univers, ait jamais eu le plaisir de contempler. « Si tu restes calme, il n'en saura rien. », la revit-il dire, tandis qu'il était assis face à elle, sur l'une des chaises du salon, dans leur maison en Égypte. Il. Un pronom, qu'ils avaient longtemps utilisé avec crainte, dans le but de désigner Damian Peterson. Le poing droit de l'Oubliator se serra, au moment où les yeux bleus, semblables à un océan glacé, de son père, remplacer la chaleur réconforte de l'ambre. Tu fais chier papa. L'énervement qu'il avait jusqu'à lors dirigé contre le canidé, explosa contre la table basse en teck, qu'il renversa, expulsant les babioles s'y trouvant contre les murs, et les étagères, qui pour la plupart cédèrent sous le choc. Ach, qui depuis l'entrée de son maître n'avait pas bougé, sauta du canapé, pour se réfugier contre le mur opposé au sorcier, se cachant ainsi de sa fureur, qu'il espérait passagère. « Votre père se porte mieux ? », répéta-t-il fidèlement, le vibrato dans sa voix, ne laissant planer aucun doute sur les émotions qui l'animaient. Colère. Haine. Impuissance. Peur. « Évidemment que non c*nnasse ! », cria-t-il de rage, en attrapant le cadre brisé à ses pieds, prêt à le faire rejoindre ses congénères contre le mur. Ses iris bleu nuit, se posèrent sur l'animation de la photographie, et son geste fut suspendu. Une seconde, qui en laissa couler une dizaine d'autres, tandis que son bras se baissait avec la lenteur d'un automate n'ayant plus la moindre énergie. Une marionnette dont on aurait coupé les fils. Son ressentiment se dilua dans ses veines, lui laissant un goût aigre, d'une amertume, qui lui donna la nausée. Ses paupières se fermèrent l'espace de quelques secondes. Ses jambes cédèrent brutalement, le forçant à prendre appui contre l'accoudoir rembourré. Avec la grâce qui le caractérisait tant, il s'avachit dans le canapé en cuir, déchiré à plusieurs endroits par les crocs du chien, qui s'approcha de son propriétaire.

« Aller, viens là gros balourd. Je suis plus fâché. », l'appela Seth, en tapant la place à côté de lui du plat de la main. Avec un aboiement joyeux, Ach sauta maladroitement aux côtés de son maître, ses pattes griffues râpant le cuir, l'entaillant un peu plus. « Ben alors mon vieux, t'as prit du bide ? », avec un rire, le sorcier l'aida à se hisser, ses doigts caressant avec vigueur les poils courts de l'animal, qui roula sur le dos, sa truffe humide trouvant sans peine la source des attentions, la langue râpeuse passant sur les phalanges du jeune homme. « Arf ! », il se dégagea avec un nouvel éclat de rire, en essuyant sa main couverte de bave sur son t-shirt noir. « T'es dégueulasse ! ». Un aboiement lui répondit, le canidé se retournant, pour s'allonger sur les genoux de l'égyptien, qui le laissa faire, avec un soupir, râlant plus pour la forme, que par réelle envie. Ses yeux se reportèrent sur le verre brisé qu'il tenait entre ses doigts. « Reparo. », murmura-t-il du bout des lèvres, les morceaux se recollant les uns après les autres, avec lenteur. « Regardes ça. », interpella-t-il son compagnon, en lui tapotant le sommet du crâne à l'aide de son index, dans le but de lui faire apercevoir, les prémices d'un souvenir. La pointe d'une pyramide. 

14 Juillet 1979, Le Caire,


« Seth. Tu ne t'éloignes pas. », cria Damian Peterson, en mettant ses larges paumes, en porte voix, dans le but de se faire entendre de son fils, qui courrait déjà en direction du gigantesque plateau, regroupant les monuments emblématiques du pays. « Damian, laisse le donc. C'est son anniversaire ... », souffla la jeune femme à ses côtés, en dégageant l'une de ses longues mèches brunes, du visage mâte de la petite fille, de un an tout juste, qu'elle tenait entre ses bras menus. Le regard bleuté de l'homme, trouva celui, plus ambré de son épouse, dont les épaules se raidirent, son emprise sur la petite fille, s'intensifiant. « Chérie. », commença-t-il, d'une voix doucereuse, en passant un bras autour de la taille fine de l'égyptienne, qui préféra dériver ses prunelles, sur le jeune garçon, qui tourna son visage rond dans sa direction, lui offrant un sourire joyeux, tandis que dans ses petites mains, se trouvaient une croix de vie en argent. « Je n'ai aucun conseil, à recevoir d'une… », il marqua une pause, laissant son souffle chaud, frôler la peau bronzée de la mère de famille. « Sorcière. », finit-il du bout des lèvres, avec un sourire mauvais, sa bouche touchant la pointe de l'oreille de la femme. « Damian, écoutes ... », elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'une main se saisit de la sienne. Un contact soudain, inattendu, qui fut suivit d'une exclamation. « Maman ! Tu viens avec moi ? Il y a pleins de choses là-bas ! », pour confirmer ses dires, Seth pointa du doigt, les nombreux stands se trouvant à quelques pas. Sortant ainsi de sa torpeur, Dédetès, de son prénom, hocha la tête, laissant son regard doré accrocher celui de son enfant. Les sourcils du petit se froncèrent de concentration, et son sourire, qui depuis le début de la journée, n'avait cessé d'être lumineux, s'affaissa. La situation lui sauta au visage. Les émotions se mélangèrent comme un tourbillon, lui rappelant celui du siphon de l'évier de la salle de bains. La peur. La rancune. La tristesse. L'impuissance. Des sentiments, qui semblaient lui appartenir, mais qui lui paraissaient pourtant bien étrangers. « Maman.. », murmura le gamin, en reculant d'un pas, les yeux écarquillés, tant de surprise, que d'incompréhension. Une seconde s'écoula. Suivit de plusieurs autres, laissant planer un silence embarrassant au sein de la famille. Damian porta un regard sévère sur son enfant, qui déglutit sous le choc de l'impulsion qu'il reçut instantanément. Colère. Colère. Haine. Amertume.


___
Dépassement de la limite de caractères. La suite sera posté sur un nouveau message, comme s'il s'agissait d'un RP.

۞ PRÉNOM OU PSEUDO : Dieu ? Fabulous ? Tellement de noms pour me représenter. Mais B' sera amplement suffisant. 
۞ AGE DU JOUEUR : 20 ans. 
۞ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Par le biais d'Oscar. Alors, voulant sortir du personnage, que j'incarne sur un autre forum Harry Potter, connu, dont je tairais le nom, je suis venu faire un tour.
۞ COMMENT LE TROUVEZ-VOUS ? Prometteur.
۞ CODE DU RÈGLEMENT : Validé par Theli
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AuteurMessage
River J. Walker
Parchemins : 144
Ϟ 6ème année Ϟ
River J. Walker
MessageSujet: Re: Seth Peterson [En cours] Seth Peterson [En cours] Icon_minitimeMer 21 Déc - 23:56
Bienvenue par ici, Seth ! Et bon courage pour ta fiche, hâte de la lire Wink
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AuteurMessage
Artheli E. Black
Parchemins : 134
Age : 26
Ϟ Fonda Tout-Puissant Ϟ
Artheli E. Black
MessageSujet: Re: Seth Peterson [En cours] Seth Peterson [En cours] Icon_minitimeJeu 22 Déc - 0:06
Bienvenue!!

Bon courage pour ta fiche! (ohmondieuj'adoretonvava!!!! :river: )
J'ai hâte de voir ce que ça va donner Wink
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AuteurMessage
Seth Peterson
Parchemins : 3
Age : 29
Seth Peterson
MessageSujet: Re: Seth Peterson [En cours] Seth Peterson [En cours] Icon_minitimeMar 27 Déc - 19:32
© Arrogant Mischief sur Never Utopia
Seth Peterson

« Il est des épreuves que l’on ne surmonte jamais vraiment, mais auxquelles on survit, malgré tout. »


۞ PRÉNOM(S) : Seth Andrew Aton
۞ NOM : Peterson
۞ AGE : Né le 14 Juillet 1973, il a aujourd'hui 22 ans. 
۞ NATIONALITÉ : Anglais et Egyptien. Sa mère Dédetès Peterson (née Em-Heb), est égyptienne, et son père Damian A.Peterson, est britannique.
۞ SANG : (Sang-Pur, Sang-Mêlé, Né-Moldu) Sang-mêlé, d'une mère sorcière et d'un père moldu.
۞ MÉTIER : Oubliator
۞ ANIMAL : Un Bouledogue anglais, qu'il a nommé Ach, en référence au Dieu du désert de Libye, proche du Dieu Seth. Il l'a acheté sur le chemin de Traverse à la fin de ses études à Poudlard. Déjà âgé de 10 ans au moment de son adoption, il mène maintenant une belle vie aux côtés du sorcier, en ronflant le plus souvent sur le canapé de son salon.
۞ BAGUETTE : La baguette faîte d'un bois de Peuplier, presque blanc, est longue de 31,3 centimètres, correspond au fort caractère de Seth. Composé d'un Crin de licorne, elle s'accorde au bois, qui lui offre une fidélité exemplaire, et une puissance toujours égale. D'une bonne souplesse, elle fait en sorte d'être difficilement cassable, et ce, malgré les nombreuses chutes qu'elle a subies, témoignant tant de la maladresse du sorcier, que de sa souplesse d'esprit. Sur le pommeau, sur les deux faces opposées, se trouvent deux runes. La "Mémoire", et "L'oubli".

۞ PATRONUS : Pygargue à tête blanche. Trop souvent confondu avec l'aigle royal, il s'agit d'un animal extrêmement fier, offrant tant de férocité, si l'on s'en prend aux siens, et son territoire, qu'une adaptabilité incroyable pour un rapace de cette envergure. 
۞ VOTRE PERSONNAGE POSSÈDE-T-IL UN DON ? (Voir la listeIci) Légilimens.
۞ AVATAR : Rami Malek

Part two from
I will not Bow ♪

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۞ PRÉNOM OU PSEUDO : Dieu ? Fabulous ? Tellement de noms pour me représenter. Mais B' sera amplement suffisant. 
۞ AGE DU JOUEUR : 20 ans. 
۞ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Par le biais d'Oscar. Alors, voulant sortir du personnage, que j'incarne sur un autre forum Harry Potter, connu, dont je tairais le nom, je suis venu faire un tour.
۞ COMMENT LE TROUVEZ-VOUS ? Prometteur.
۞ CODE DU RÈGLEMENT : Validé par Theli
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Artheli E. Black
Parchemins : 134
Age : 26
Ϟ Fonda Tout-Puissant Ϟ
Artheli E. Black
MessageSujet: Re: Seth Peterson [En cours] Seth Peterson [En cours] Icon_minitimeJeu 29 Déc - 15:13
T.T Les cooooodes qu'as-tu fais aux cooooooodes xD

Problème de code? n'hésite pas à me demander Wink
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AuteurMessage
Seth Peterson
Parchemins : 3
Age : 29
Seth Peterson
MessageSujet: Re: Seth Peterson [En cours] Seth Peterson [En cours] Icon_minitimeJeu 29 Déc - 15:30
Les codes sont vivants. Je n'ai fait que les remettre à ma sauce. Mais j'ai dépassé la limite de caractères autorisée par le forum, rien de plus. XD
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AuteurMessage
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MessageSujet: Re: Seth Peterson [En cours] Seth Peterson [En cours] Icon_minitime
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Seth Peterson [En cours]

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